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Home/ Liturgie Sacrements & Temps liturgique/ Group items tagged La Vie

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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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Le Mans - La mort : un passage vers la vie en plénitude - YouTube - 0 views

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    ""Zoomons sur l'actu avec Mgr Le Saux et ses invités" : Notre évêque, Benoît Chagneau, médecin, Hélène Chaudun, animatrice à la Maison Bonnière Saint-Aldric et le père Michel Patry, aumonier à l'hôpital du Mans parlent de la mort. La mort est toujours une question fondamentale qui suppose une grande humilité et une délicatesse. Nous allons mourir un jour. Comme chrétiens nous regardons la mort à travers l'espérance chrétienne. Benoît XVI disait : « Ce qui doit caractériser les chrétiens c'est qu'ils savent qu'ils ont un avenir ». Et quand nous avons que nous avons un avenir au-delà de la mort ça change tout ! Nous vivons dans un monde où nous avons projeté la mort dans l'irréel, dans la fiction, la télévision si bien que pour certains adolescents la mort n'a pas de réalité. Ce n'est que quand ils y sont confrontés que tout d'un coup elle est réelle. L'autre tendance est de faire comme si la mort n'existait pas. Dans nos médias, partout, nous ne parlons pas de la mort, nous disons : « Il a disparu ». C'est terrible de dire qu'un ami a disparu. Il est parti où ? Parfois nous n'osons pas nommer la mort alors que nous devons pouvoir en parler. Nous devons nous y préparer, à court ou long terme. Non pas vivre de manière morbide, ça fait partie de notre vie, du mystère de notre vie. Pour nous la mort n'est pas un mur sur lequel tout est achevé. Nous croyons que, par la mort et la résurrection du Seigneur, c'est devenu un passage vers la vie en plénitude. C'est un mystère. Jean XXIII disait : « Garder la simplicité et la douceur d'esprit qui maintient toujours, à toute heure de ma journée, la disposition à tout quitter et à partir, même subitement, pour la vie éternelle » Est-ce que je suis disponible ? Parce-que la mort peut atteindre chacun d'entre nous de manière inattendue. Nous avons tous été confrontés à la mort de nos proches. Il y a un arrachement, une tristesse qui est normale,
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"Ne nous laisse pas entrer en tentation" - 1 views

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    "Notre Père Qu'est-ce qui change ? Retour sur la sixième demande du Notre Père avec le P. Michel Souchon, alors que le Vatican vient d'approuver une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique.La formule du Notre Père " Et ne nous soumets pas à la tentation" y est remplacée par «Et ne nous laisse pas entrer en tentation". Facebook Twitter Google Plus Share This Mains ouvertes d'enfants pour la prière du Notre Père. © Corinne Simon/Ciric "Ne nous soumets pas à la tentation", quelle demande étrange ! Le mot à mot est tout aussi troublant : « Ne nous conduis pas en tentation » (« Ne nous fais pas entrer dans l'épreuve », traduit Sœur Jeanne d'Arc). Dieu serait-il tentateur ? Saint Jacques s'oppose à cette idée : « Que nul, s'il est éprouvé, ne dise : « C'est Dieu qui m'éprouve ». Dieu en effet n'éprouve pas le mal, il n'éprouve non plus personne. Mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui l'éprouve et le leurre. Puis la convoitise, ayant conçu, donne naissance au péché, et le péché, parvenu à son terme, enfante la mort » (Jacques 1,13-15). Saint Paul est plus ambigu. S'adressant à Dieu, il lui attribue la responsabilité de la tentation : « Tu es fidèle et tu ne permets pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces. Avec la tentation, tu nous donnes aussi le moyen d'en sortir et la force de la supporter » (1 Corinthiens 10,13). Et la Bible témoigne d'une curieuse inversion des rôles : « C'est toi, Dieu, qui nous as éprouvés, affinés comme on affine un métal. Tu nous as conduits dans un piège. Tu as serré un étau sur nos reins » (Psaume 66, 10-11). Les évangiles (Matthieu 4,1-11 ; Marc 1,12-13 ; Luc 4,1-12) disent que Jésus lui-même a connu la tentation ! Jésus repousse les offres du diable. Il est ainsi le modèle de la foi du chrétien. Si le Christ a été tenté, il ne peut nous enseigner u
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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Reims - Homélie pour le 5ème dimanche de Carême, année A, le 29 mars 2020 - 0 views

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    "« Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ». Nous attendons, frères et sœurs, d'entendre cette grande parole retentir dans la nuit de Pâques, si singulière soit la manière dont nous vivrons cette Vigile. Des morts nombreux sont à craindre dans la semaine qui vient. Peut-être certains d'entre vous qui vous unissez à cette messe ce matin ont-ils été frappés en ces jours, à cause du virus ou d'une autre manière. La mort n'attend pas et elle paraît toujours l'emporter. Pourtant, ce matin, alors que la mort se prépare à multiplier ses ravages, nous réentendons cette promesse : « Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ».  Nous l'entendons en contemplant Jésus aller vers le tombeau de Lazare, son ami. Il l'a laissé mourir, il l'a même laissé être mis au tombeau et commencer à s'y décomposer. Jésus n'est pas venu parmi nous, il n'a pas été envoyé par le Père, pour faire des miracles, pour arranger des situations. Selon l'évangéliste saint Jean, il fait des signes : des gestes pleins de significations qui annoncent et font comprendre ce qu'il vient, lui Jésus, apporter à tous et chacun des nommes qui veulent bien se laisser approcher par lui. Il vient pour apporter la vie en plénitude, la vie qui ne connaîtra pas la mort, la vie qui peut être la vie pour toujours. C'est ce travail-là que nous le voyons opérer au long du récit qui vient d'être proclamé, le travail qui consiste à préparer ses amis à recevoir la vie en plénitude ou à entrer dans la vie en plénitude. Tout se noue dans le dialogue entre Jésus et Marthe. Vous avez entendu, frères et sœurs, Jésus déclarer : « Moi, je suis la Résurrection et la vie » et ajouter : « Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »."
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Assemblée nationale / OPECST - Note - Crise du funéraire en situation de Covi... - 0 views

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    Sous la présidence de Gérard Longuet et la vice-présidence de Cédric Villani, l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a souhaité s'intéresser davantage aux rapports entre les sciences et la société, comme en témoigne l'introduction de notes scientifiques, supports pédagogiques d'information sur les questions d'actualité. Pendant toute la durée de la crise sanitaire, s'acquittant autant qu'il était possible de sa mission d'information du Parlement, il a procédé à de nombreuses auditions et publié plusieurs notes, dans des champs disciplinaires multiples, afin de tenter un bilan le plus complet possible des enjeux politiques et scientifiques de la gestion de la pandémie provoquée par l'irruption du coronavirus. (…) La crise sanitaire, dans le cadre du funéraire, relève d'un double enjeu. Elle est à la fois une crise de mortalité ou mort de masse, c'est-à-dire un épisode de surmortalité exceptionnelle puisqu'elle se caractérise par un certain nombre de signes répondant à cette typologie. Elle est aussi marquée par une forte perturbation dans les rituels funéraires, directement liée au confinement et à la distanciation physique. Les sujets de la mort et du deuil sont revenus au cÅ“ur des débats au mois de mars 2020, par effraction, avec la question du délai de congés à accorder aux parents ayant souffert la perte d'un enfant, qui a montré l'émotion suscitée par ces questions. La crise sanitaire sans précédent a bouleversé tous les moments de la chaîne funéraire (fin de vie, adieu, moment du mourir, cérémonies, deuil). Elle a révélé la nécessité pour la représentation nationale de se saisir de ce sujet occulté, afin de réfléchir au statut de la mort dans notre société. Alors que des voix s'élèvent pour dénoncer le fait que l'urgence sanitaire ait primé, dans la hiérarchie des valeurs, sur les familles endeuillées et sur le vÃ
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RCF Nord de France - La nouvelle traduction de la Bible liturgique - 1 views

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    "La nouvelle traduction de la Bible liturgique Emission du lundi 18 novembre 2013 Intégrer à mon site Faites connaître cette émission : Partager l'article Facebook Twitter Google+ Viadeo LinkedIn E-mail Invités de l'émission Père Jacques Rideau directeur du Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle Pauline Trémolet éditrice chez Mame Guillaume Arnaud directeur général délégué des éditions Mame Mgr Bernard-Nicolas Aubertin évêque de Tours Détails de l'émission Pourquoi les mots prononcés lors de la messe sont-ils importants ? Comment les choisit-on ? On en parle avec Stéphanie Gallet et ses invités. Appelez le 04 72 38 20 23* ou écrivez à letempsdeledire{at}rcf.fr. La nouvelle traduction de la Bible utilisée dans la liturgie catholique est une aventure humaine : des dizaines de spécialistes ont travaillé le texte pour en donner une version à la fois plus fidèle aux textes originaux et mieux adaptée aux oreilles d'aujourd'hui. C'est aussi un défi éditorial hors norme : quand on sait les difficultés de l'édition aujourd'hui, se lancer dans une telle entreprise n'est pas une simple affaire. C'est encore une belle histoire de foi car traduire la bible, lire et relire la parole de Dieu et la vie de son peuple, travailler cette langue et ces mots qui ont traversé les peuple pour mieux la restituer à ses contemporains, c'est aussi une facon de tracer son chemin vers Dieu. Enfin cette nouvelle traduction de la Bible liturgique, c'est aussi une nouvelle page de la vie de l'Eglise catholique et des communautés qui la constituent. Elle est en effet destinée à être lue dans les paroisses lors des offices, dans les couvents et les monastères pour ceux qui pratique la prière des heures, pour toutes les célèbrations et temps de prière qui ponctuent la vie du croyant en communauté. Parler de cette nouvelle traduction de la bible p
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26 Novembre Veillée pour la vie - 0 views

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    "26 Novembre Veillée pour la vie Veillée de prière pour la Vie, organisée par les AFC 94V6 affiche priere A la suite du Saint-Père Benoit XVI qui a présidé lui-même une veillée de prière pour la vie naissante, le pape François n'a de cesse de nous exhorter au respect de la vie, dès sa conception jusqu'au dernier souffle. Dans cette dynamique, les AFC du Val-de-Marne, organisent chaque année depuis six ans, avec le soutien de Monseigneur Michel Santier, une « Veillée de prière pour la vie, de la conception à son dernier souffle », à la cathédrale de Créteil. Elle aura lieu cette année le samedi 26 novembre à 20h30."
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Rennes - Lettre aux catholiques d'Ille-et-Vilaine : Eucharistie & confinement - 0 views

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    "Pour vous, chers fidèles catholiques, la foi en Dieu est une lumière qui vous garde dans l'espérance. Dieu n'est pas confiné et se fait proche de celles et ceux qui le cherchent avec confiance. Il est amour, éternelle est sa fidélité ! Votre foi vous pousse à la charité inventive et attentive. Elle vous aide à sortir de l'individualisme ambiant qui conduit à penser que chacun a droit à ce qu'il désire. Elle vous donne au contraire la joie d'appartenir à une communauté, à une paroisse, à la « famille de Dieu » qu'est l'Église. Que la Covid-19 ne vous divise pas ! Au centre de la communauté, de la paroisse, de l'Église, l'Eucharistie est toujours célébrée pour elle et avec elle : « Il est grand le mystère de la foi. » Conscients de l'importance singulière de l'Eucharistie - qui n'est comparable à aucun autre rite des cultes -, nous, évêques, avons demandé la possibilité de la célébrer, tout en respectant les gestes barrières. Pour des raisons sanitaires estimées graves, le juge du Conseil d'État a préféré maintenir l'interdiction. Par solidarité avec nos concitoyens, nous devons tous obéir. Mieux, par charité pour notre prochain, nous devons être vigilants dans l'application des gestes barrières afin de contribuer, chacun à sa place, à stopper la contamination de la Covid-19. Ainsi, certains parmi vous souffrent de ne pouvoir participer à l'Eucharistie, « source et sommet de toute la vie chrétienne », comme le souligne le concile Vatican II. Tous, vous êtes appelés à continuer à avancer comme chrétiens selon le double appel que Dieu nous adresse : « Vous serez mes témoins » (Actes 1,8) ; « Devenez saints, vous aussi, dans toute votre conduite » (1 Pierre 1,18). Être témoin en vivant la charité et avancer humblement vers la sainteté, voilà le cœur de la vie chrétienne à la suite du Christ qui nous a aimés jusqu'à l'extrême (Jean 13,1) et qui est le s
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La Rochelle - Homélie donnée par Mgr Colomb pour le dimanche des Rameaux 5 av... - 0 views

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    "Depuis le début du carême qui, cette année, a été marqué par une expérience de confinement, nous avons découvert l'importance des relations sociales qui nous ont manqué et que nous, chrétiens, appelons la communion avec notre Seigneur et entre nous. Nous avons expérimenté intensément la vie familiale ou la vie d'ermite. Nous avons pris le temps de nous interroger sur le sens de la vie, la valeur des choses, du travail, des loisirs. Certains parmi nous, je le sais, ont essayé de vivre selon la règle de Saint-Benoît (Prière, travail intellectuel, manuel, vie fraternelle ou familiale). Posons notre regard sur le Christ et suivons le, il sera au centre de nos vies et notre vie familiale, professionnelle, sociale, après le confinement, ne sera plus la même, notre relation à la création, à la nature sera changée. Regardons le Christ et notre horizon sera illimité !"
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EVRY _ Le carême est un chemin de la vie donnée. - 0 views

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    "Le carême est un chemin de la vie donnée. Nous allons le parcourir avec les 110 adultes, nos frères et nos sœurs chrétiens catéchumènes qui seront baptisés à Pâques dans notre diocèse. Depuis des mois, ils se sont mis en route en demandant la foi qui donne la vie éternelle1. Avec Jésus le Christ, ils choisissent la vie. De Lui, ils veulent apprendre la vie véritable. Pour eux, comme pour nous, ces quarante jours nous sont donnés comme un temps de révision de vie car chemin faisant, le sel de nos vies a pu s'affadir."
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Papeete - Contemplons Marie - 0 views

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    "  Alors que nous célébrons ce 08 Décembre la Bienheureuse Vierge Marie en son Immaculée conception, qu'il nous soit donné de la contempler à travers le regard aimant de son Fils Jésus. Contemplons Marie dans sa simplicité. L'Evangile ne nous dit rien de l'enfance de Marie. Il semble que Dieu ait voulu jalousement cacher Marie pour la préserver, et toute sa vie, elle gardera l'amour de l'ombre, de l'effacement, de la vie cachée, de la simplicité. Nous l'imaginons à Nazareth, femme d'un charpentier, faisant le ménage, allant à la fontaine, elle, la reine du ciel ! Plus tard, la voici comme perdue au milieu des saintes femmes, sans que rien ne la distingue… Elle n'est pas Marie sœur de Lazare qui assise aux pieds de Jésus, écoute sa parole… Elle n'est pas Marie Madeleine au tombeau, à la recherche du crucifié…Mais elle est debout, en silence au pied de la croix dans une douleur immense et une paix divine… Confiée par son fils à Jean qui la prendra chez lui, elle mènera jusqu'à son Assomption cette même vie discrète qu'elle avait mené à Nazareth ! Imaginons Marie pendant le discours de St Pierre à Jérusalem au matin de la Pentecôte : personne dans la foule des auditeurs, ne pouvait se douter que la mère de ce Jésus ressuscité, que la mère de Dieu se trouvait là, silencieuse, au milieu d'eux."
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SPI - Quand la pandémie interroge notre rapport à la mort - 0 views

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    "Car cette réponse a été essentiellement technique. Elle révèle en fait une sorte d'hémiplégie mentale. L'être humain n'a été vu qu'à travers son corps mortel, pour lequel seule la science peut quelque chose : si possible, lui garantir la vie. Or si l'être humain avait été reconnu aussi dans sa dimension spirituelle, nous aurions pu encourager la capacité de tout un chacun à penser la mort, à s'approprier sa mort. Si nous ne mourrons pas tous du Covid-19, nous mourrons tous un jour. Se demander en quoi cette certitude engage à repenser le sens de la vie, c'est enfreindre un interdit de notre modernité pour qui la vie n'a pas de sens défini. La mort y est, elle, un tabou qui évoque l'échec des sciences médicales, l'impuissance de l'humanité à se donner la vie à elle-même. Acceptons de briser le tabou : nous pourrons alors comprendre que, si l'homme est apte à penser sa mort, c'est précisément là que paraît son humanité. L'homme ne s'humanise pas en défiant techniquement la mort, mais en l'intégrant spirituellement. Toute la féconde sève du christianisme est là. Malheureusement, notre société n'est pas disposée à le reconnaître facilement."
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Cambrai - Message de Carême de Mgr Dollmann - 0 views

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    "Avec nos contemporains, la conversion la plus difficile est celle du décentrement de nous-mêmes, décentrement de notre savoir et de notre quête à tout manipuler, décentrement de notre course à la consommation. Il nous faut apprendre à renouer avec la vertu d'humilité qui est la force et la joie des saints. Elle s'acquiert par l'entrainement à l'émerveillement devant la beauté de la création et devant le bien réalisé par des personnes dans la société comme dans l'Eglise. Ce serait un bel effort de Carême qui produirait sûrement des fruits de paix et de joie en nous et autour de nous. Cet émerveillement devient alors prière d'action de grâce. Celle-ci est étroitement liée à la prière d'intercession, en témoignent les psaumes que le Christ n'a cessé de prier jusque dans sa mort. La pandémie actuelle a également fait ressortir le besoin vital de liens personnels de proximité que les moyens de communication ne peuvent remplacer. Le Carême est un temps favorable pour dégager des temps gratuits d'écoute et de partage au sein de nos relations en famille, avec le voisinage et dans les communautés. C'est l'occasion de s'intéresser aux joies et aux peines de ceux qui nous entourent, c'est l'occasion de faire la visite tant de fois reportée, à telle personne seule ou malade… Le Carême demeure avant tout un temps béni pour goûter à la joie d'être entre les mains de Dieu et d'être appelé à partager sa vie pour toujours. C'est l'occasion de dégager du temps pour la lecture de la Parole de Dieu et l'approfondissement de la foi. Cela peut commencer en famille en regardant ensemble un film sur l'Histoire Sainte ou la vie d'un saint. La créativité qui anime les paroisses et les services diocésains permet à chacun d'être soutenu dans son désir de vivre le Carême comme un temps de renouveau de la foi.  "
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Annecy - L'Assomption de la Vierge Marie - 0 views

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    "L'Assomption de la Vierge Marie L'Assomption est une des grandes fêtes de la vie chrétienne. Célébrée le 15 août, elle commémore la gloire de Marie avec Dieu au terme de sa vie terrestre. Marie a été enlevée de la vie terrestre pour entrer dans la vie en Dieu. Pour Marie, l'Assomption est la suite de sa participation à la vie de Jésus."
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Le Mans - Message de Noël de Mgr Le Saux - 0 views

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    "Cette crise nous révèle que l'individualisme comme mode d'organisation de la société est une erreur. Nous devons sortir du mythe de l'autosuffisance et de la toute puissance. Nous avons besoin les uns des autres. Je vous invite à laisser la lumière de Noël éclairer nos vies et  cette situation de crise qui nous affecte tous. Le récit de la nuit de Noël que nous lisons dans les églises, invite à ne pas avoir peur. Il annonce une grande joie pour tout le peuple et la paix pour tous les hommes que Dieu aime. Accueillons la joie véritable. La joie ne se réduit pas aux divertissements. La joie naît du renoncement à la superficialité qui ne peut produire que la tristesse. La joie naît de la relation à l'autre. C'est la joie de s'oublier soi-même parce que l'on aime et que l'on est aimé. Noël est une invitation à l'humilité. L'épidémie nous a ramenés à notre vulnérabilité. Nous devons renoncer à l'illusion de penser que nous pouvons tout maîtriser. La vulnérabilité humaine participe de la beauté et grandeur de l'homme. Dieu a choisi le chemin de la vulnérabilité et de la fragilité. Ce ne sont pas la science et la technique qui sauvent le monde, mais l'amour. Noël, c'est l'annonce de la paix. Nous ne pouvons pas répondre à la violence par la violence. Renonçons à la violence physique et à la violence verbale. C'est ensemble que nous devons construire l'avenir, pas les uns contre les autres, pas les uns avec les autres. Mais, à quoi sommes-nous prêts à renoncer pour le bien des autres ? Prenons soin les uns des autres."
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La réponse de Juliette Levivier - À la messe, pourquoi on ne dit pas le nouve... - 0 views

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    "Question de Paul , 9 ans. Pour que la parole de Dieu soit accessible à tous les hommes, l'Église a traduit la Bible en grec, puis en latin, puis dans les multiples langues parlées à travers le monde. Cette succession de traductions a entraîné des erreurs et des maladresses. L'Église a donc décidé, il y a quelques années, de retraduire entièrement la Bible que l'on utilise à la messe afin de revenir au plus près du texte d'origine. Le changement le plus attendu est celui d'un verset du Notre Père qui fait l'objet de grandes discussions. « Ne nous soumets pas à la tentation » peut laisser penser que c'est Dieu qui nous tente et nous pousse au péché, ce qui, évidemment, est une absurdité. La nouvelle traduction a donc opté pour une autre formulation : « Ne nous laisse pas entrer en tentation ». Le Notre Père est la seule prière que Jésus nous a apprise Lui-même, aussi est-elle particulièrement importante pour les chrétiens. Beaucoup, comme toi, sont impatients de prier avec la nouvelle traduction mais, comme tu l'as remarqué, on ne la récite toujours pas à la messe. Pourquoi ? Parce qu'elle ne s'applique pas encore à la prière de l'assemblée. Pour la messe, on utilise deux livres : un lectionnaire, qui contient les textes bibliques, et un missel, qui contient les prières de la messe, dont le Notre Père. La nouvelle traduction liturgique du lectionnaire a été mise en place le premier dimanche de l'Avent 2014, c'est donc celle que nous entendons lorsque la parole de Dieu est proclamée à la messe. La traduction du missel, en revanche, ne sera prête que dans quelques années. C'est à ce moment-là que l'on adoptera la nouvelle traduction du Notre Père. Les évêques de France ont donc bien précisé que « rien ne change pour la prière du Notre Père, y compris à la messe », tant que le nouveau missel romain ne sera pas publié. "
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Toulouse - En route vers la sainteté ? - 0 views

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    "La fête de la Toussaint tourne nos regards vers ceux qui vivent déjà de la vie bienheureuse avec Dieu : des saints les plus illustres aux plus humbles ; des saints canonisés vénérés par toute la terre, des saints de tous les temps, mais aussi tous les saints inconnus des hommes mais connus de Dieu, saints de nos familles qui ont déjà rejoint le ciel : « Nous célébrons dans une même fête la sainteté de tous les élus » (prière d'ouverture de la messe de Toussaint). Peut-être que les plus grands saints du paradis nous sont inconnus : la sainteté cachée n'est-elle pas la plus grande ? Si Thérèse de Lisieux n'avait pas écrit ses manuscrits autobiographiques, elle serait restée inconnue des hommes, et tout le monde l'aurait oubliée ; mais sa sainteté n'en serait pas moins grande. Cette fête de Toussaint oriente donc nos regards vers la vie bienheureuse, vers tous ceux qui partagent déjà la communion trinitaire, dans laquelle nous espérons nous retrouver. Cette vie éternelle nous attire et par cette fête de Toussaint, un avant-goût de cette vie bienheureuse nous est donné."
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IFOP - Les Français et la mort - 1 views

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    L'au-dela fait de la résistance Malgré la baisse de la pratique religieuse, la croyance en la vie après la mort ne s'effondre pas. En quarante-huit ans, elle baisse de 6 points seulement : 31 % des Français croient en un au-delà, contre 37 % en 1970. Cela s'expliquant sans doute par le fait que cette interrogation métaphysique est prise en charge par la religion, mais aussi par d'autres croyances ou cultures. Sur l'existence d'une vie après la mort, les catholiques pratiquants se montrent les plus convaincus. Deux sur trois y croient. La mort, pas si taboue Si la mort est moins visible aujourd'hui qu'autrefois, la question demeure présente dans les esprits. 42 % des Français déclarent y penser souvent (14 % très souvent et 28 % assez souvent). À cette question, en 1979, 47 % répondaient de la même façon. Peu d'évolution, donc, sur un questionnement existentiel. Plutôt incinéré qu'enterré Les Français sont plus nombreux à vouloir être incinérés (47 %) qu'enterrés (29 %). Presque un quart d'entre eux s'avouent indifférents à la manière dont ils seront inhumés. Résistants à cette tendance : les sondés se réclamant d'une autre religion (48 % pour l'enterrement et 35 % pour la crémation) et les catholiques pratiquants, (38 % choisissent l'enterrement et 36 % la crémation). La question préoccupe, en tout cas, plus de deux Français sur trois : ils sont 67 % à y avoir réfléchi. À noter : la proportion de personnes choisissant l'incinération est en lente régression (6 points perdus en huit ans).
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Dominicains - KIT SEMAINE SAINTE 2020 - 0 views

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    "La célébration de la Pâque remonte au temps où Dieu libéra Israël de la main de Pharaon. Cette libération impliqua un exil. Le peuple hébreu dut abandonner tout ce qui lui était familier et se mettre en route. La signification spirituelle de l'évènement devenait évidente : l'esclavage humain était le signe de l'esclavage spirituel, celui dans lequel nous tient le péché. Dieu voulait en délivrer son peuple. Mais pour cela, il fallait que le peuple accepte de tout quitter pour ne suivre que Dieu. Cette libération commença par un repas, un repas que nos frères aînés, les juifs, continuent de célébrer sous forme de mémorial, le Seder de Pessah. Six siècles avant Jésus Christ, le peuple juif connut un autre exil. Il fut déporté par les babyloniens et le Temple de Jérusalem où ils rendaient un culte à Dieu fut détruit. Ils ne pouvaient donc plus offrir les sacrifices prescrits par la loi de Moïse. Alors ils s'interrogèrent sur le sacrifice qui plaît à Dieu et sur la façon de continuer à Lui rendre un culte. La famille et la synagogue devinrent le lieu de la célébration du culte rendu à Dieu. D'une certaine manière, c'est ce qui se passe pour nous. Nous sommes comme exilés, loin de nos églises. Mais c'est une opportunité qui nous est offerte pour que nos maisons, nos foyers (re)deviennent des lieux où l'on prie, où l'on célèbre le Seigneur. Le Concile Vatican II, reprenant l'expression de saint Jean Chrysostome, parlait ainsi des familles comme d'autant de petites églises, d'églises domestiques ! Nous vous proposons ainsi TOUS LES OUTILS À TÉLÉCHARGER CI-DESSOUS pour une semaine de célébrations à vivre à la maison. Le matériel est abondant pour que vous puissiez choisir ce qui vous convient, y compris à l'intérieur d'une célébration. Voici la structure : Les dimanches des rameaux et de Pâques sont structurés comme une célébration du dimanche mais en y incluant un geste. Le
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